Florence Deau 
The Microbial Home is a project conceived by French designer Cedric Bernard in collaboration with Philips Design. It is a domestic ecosystem that challenges conventional design solutions to address issues of energy, cleaning, food preservation, lighting and human waste.
Bio-digester island
A kitchen island that consists of a methane “digester” which converts organic waste solids and vegetable trimmings into methane gas which is then used to power a series of functions in the home.
Larder
This concept challenges our use of refrigeration and food storage and presents ways to keep “living food” fresh, by using natural processes; an evaporative cooler and vegetable storage system built into a dining table. The heat created by the methane digester is transported with water and used to cool down the compartments at the center of the table.
Organic-light
The concept explores the use of bio-luminescent bacteria fed with methane and composted material (drawn from the Bio-digester above). Alternatively the cellular light array can be filled with fluorescent proteins that emit different frequencies of light.
The Filtering Squatting toilet
It is a waste separating toilet that filters effluent while channeling excreta to a methane digester in the Microbial Home system.
Urban beehive
Its a concept for keeping bees at home. By providing a shelter for them within the human habitat it helps to maintain the declining number of bee populations, while they provide honey and wax for the patient home owner. The beehive is designed to allow us a glimpse into the world of these creatures educating upcoming generations about the importance of bees and to harvest the honey that they produce.
Paternoster
This plastic waste up-cycler is a concept that uses mycelium to break down plastic packaging waste. Designed to teach children about the environmental impact of household waste, it is designed to mould toys while producing edible mushrooms in the home.
Photos + sketches © Cédric Bernard
+ Via Cédric Bernard
LE DESIGN A TOUT PRIX…
Flodeau est un GRAND blog border line entre l’art et le design mais du côté design de cette frontière invisible et mouvante. J’ai regardé recemment sur France 2 le film ” L’art à tout prix ” qui fait entrer les débutants, les neophytes, les curieux, les nouveaux amateurs dans les arcanes, les mystères, les secrets du marché de l’art nouveaux amateurs ( vous pouvez voir ce film sur le net)…. Cette frontière existe bel est bien mais elle se situe moins dans une pièce que dans le portfolio et le parcours. Il peut être interessant de mettre en parallèle , comme pourrait le faire Fabio novembre dans son blog (uniquement en photo) l’avion de Mircea Cantor, nouveau prix Marcel Duchamp, avec celui de Jaime Hayon à Milan le tapis avion de Mircea avec tous les tapis volants ou pas des designers comme de François Mangeol qui se dit designer plasticien.
Quand on déconstruit un artifact , c’est à dire une création de l’homme, quand on donne les clefs du making of, on permet à un autre de cons truire son objet, son projet, son parcours créatif. Pour certains, une partie du mystère de l’objet et avec lui le supposé ” génie créatif ” du designer peut être copié, détourné, reconstruit et donc annulé. C’est dejà ce qui se passe avec le tout numérique à Milan et ailleurs. Pierre Doze, prof à l’Esad et auteur le dénonce dans sa brillante intro de l’officiel 1000 modèles Design 2011-12. “Beaucoup de designers prennent des queues de comètes pour des étoiles encore vivantes”
Comme je viens du management de projets multinationaux , la dynamique creactive du designer et de tout créateur d’idée, de concept, de forme, de fonction, d’usage, de richesse etc se situe à l’intersection de deux cercles, celui des intentions et et celui des anticipations… De cette rencontre naît la vraie vision du créateur qui ne consiste pas à additer des projets me too dans une statégie de copy cats. Je dirais aux ENSCI, notre “grande école” qui se disent stigmatisés que j’ai fait beaucoup plus d’éloges et de citations de leurs projets, de leurs pièces , de leur produits que n’importe qui. Sans revenir à la citation de Beaumarchais sur la critique , qu’ils deviennent des designers de marchés , des designers marketeurs, des designers entrepreneurs, qu’ils lisent le philosophe allemand. Peter Sloterdijk, professeur et recteur à la Hochschule für Gestaltung de Karlsruhe ( école d’art et de design qui édite ses étudiants).
On voit qu’il y a des petits génies, des futurs “genius designers” à Valenciennes, à Saint Etienne, à Nantes,à Reims, à Strasbourg qui se font valider à Eindhoven, à Berlin,à Milan….
Il faut faire repartir l’ascenceur social en même temps que l’innovation asendante chère au philosophe français Bernard Stiegler et arrêté la confiscation de l’intelligence et de la créativité nationale par le reseau des grandes écoles parisiennes….
Mes “partenaires de conflits” ne vont pas tardés à devenir des snippers masqués ou m’ envoyer leur drônes textuels sous forme de Prof ABC et plus sournoisement me faire blacklister des blogs comme ils l’ont fait avec les blogs statutaires de journalistes….
http://www.laforcedelart.fr/02…..r%2004.jpg
Il est rare qu’un jeune designer ait assez d’espace, de temps et les moyens pour déplier rapidement son oeuvre, son territoire dans sa complexité. L’Ensci, le Via et le Laboratoire ont donné les moyens à Lehanneur, comme ici Philips à Cedric Bernard . On est ici plus proche d’Eindhoven que de l’Ensci….
Jénial!……….que d’inventivité!
fantastic work!!! well done.